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‘ Génération identitaire’ a occupé une mosquée en construction à côté de Poitiers. BRAVISSIMO!!
Une soixantaine de manifestants du mouvement d’extrême droite Génération identitaire ont occupé pendant quelques heures samedi matin le chantier d’une mosquée en construction à Buxerolles, à côté de Poitiers.FRANSE JEUGD PIKT HET NIET MEER EN BEZET EEN MOSKEE TE POITIERS (waar in 732 Karel Martel de islamitische opmars versloeg)
une vidéo qui donne la parole à un occupant; et facilite le commentaire taquiyya coté muselman et un commentaire dhimmi coté catholique se trouve ici:
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/10/20/01016-20121020ARTFIG00354-des-identitaires-occupent-une-mosquee-de-poitiers.php
Les manifestants souhaitaient protester contre «l’islamisation de la France». Ils ont déployé une banderole sur le toit de l’établissement portant la mention «732, génération identitaire», en référence à l’année 732 où Charles Martel a arrêté la progression des troupes musulmanes au nord de Poitiers. «Nous ne voulons plus d’immigration extra-européenne ni de nouvelle construction de mosquée sur le sol français», est-il indiqué sur le site de Génération identitaire.
voir cette video instructrice aux enfants:
One hundred of young men and women from all France just entered the Great Mosque of Poitiers and occupy its roofs. On the front, face to the minaret, we unrolled a banner where one can read a clear message : « Immigration, building of mosques : REFERENDUM ! »
Through this important action, Génération Identitaire aims to be in the first line of the fight for our identity.
1300 years ago, Charles Martel stopped Arabs in Poitiers after an heroic battle which save our country from the Muslim invasion. It was the October 25th of 732. Today, we’re on 2012 and the choice is still the same : live free or die. Our generation refuse to see her people and her identity disappear through indifference. We’ll never be the Native Indians of Europe. From this place, important symbol of our past and bravery of our ancestors, we call to memory and fight !
We don’t want extra-European immigration anymore, nor buildings of mosques on french soil. Since the first waves of African immigration and the law about reunification of foreign worker’s families in 1974, our people was never been consulted about the populations one oblige him to live with. Massive immigration radically transform our country : according to the recent work of INSEE (National Institute of Statistics), 43% of the 18-50 years old people from the region of Paris are immigrant or descendants of immigrants. A people can recover from an economic crisis or a war but not from the replacement of his native population : without French, there’s no more France. It is a matter of survival : that’s why every people has the absolute right to choose if he wants to welcome strangers and to determine its proportion.
Because this right has been denied to us, because our generation pay the top price for this situation by being subjected to the intimidations from delinquents, we say : enough ! We don’t move back anymore ! We reclaim a national consultation about immigration and building of mosques in France. We won’t leave this place until before being listened and satisfied.
Our fight has only just begun, we call the young Europeans to become heirs of their fate and to join the advance guard of the youth who stands tall.
May all Europe hear our call : RECONQUEST !
Une trentaine de policiers ont été déployés autour du chantier. A la mi-journée, les manifestants ont accepté de partir mais leur départ a été légèrement perturbé par une manifestation de jeunes musulmans. L’évacuation des militants s’est terminée peu avant 13h, et trois organisateurs ont été placés en garde à vue.
Le procureur de la République de Poitiers, Nicolas Jacquet, a pour sa part annoncé l’ouverture d’une enquête pour «manifestation non autorisée, provocation à la haine raciale, participation à un groupement en vue de la préparation de dégradation de biens en réunion». La qualification de «vol et dégradation en réunion» est également retenue notamment concernant une dizaine de tapis de prière déplacés de la mosquée sur le toit et très fortement endommagés par la pluie.
Le premier ministre Jean-Marc Ayrault a «condamné fermement» samedi «cette provocation», qui rélève selon lui d’une «haine religieuse inacceptable», ajoutant que cet envahissement était «une agression contre la République et ses valeurs».
Manuel Valls a également dénoncé «la provocation haineuse et inadmissible» et «les amalgames douteux» du groupe d’extrême droite. Le ministre de l’Intérieur «garantit que l’Etat fera preuve de la plus grande fermeté face aux manifestations d’intolérance qui déchirent le pacte social», ajoute un communiqué.
Désir demande la dissolution de Génération identitaire
Le PS, par la voix de son nouveau premier secrétaire Harlem Désir, et le PCF, ont demandé «la dissolution» de Génération identitaire. «Je demande la dissolution de ce groupuscule fanatique dont les agissements violents sont une menace pour l’ordre public, la sécurité des personnes et pour la cohésion républicaine», écrit dans un communiqué Harlem Désir, ancien président de SOS Racisme. Pour lui, ces militants «agressent non seulement les musulmans de France mais aussi la République qui garantit la liberté de culte et le principe de laïcité».
De son côté, le PCF affirme dans un communiqué que «cette provocation stupide et pleine de fiel est inacceptable». «Ce groupuscule doit être dissous et ses responsables poursuivis pour provocation à la haine raciale»
Le président du Parti radical Jean-Louis Borloo, et le secrétaire général Laurent Hénart, se sont également élevés dans un communiqué contre «des attaques ignobles contre la République». «La France est un état laïque qui garantit la liberté de la pratique du culte quand celle-ci se fait dans le respect de la loi. Tous les appels à la haine et toutes les stigmatisations d’une religion sont des poisons qui divisent notre société.»
Les quatre jeunes, âgés de 23 à 26 ans, parmi lesquels deux étudiants et deux jeunes actifs, auraient “un rôle important” au sein du groupe Génération identitaire (GI), a-t-on indiqué de source proche de l’enquête.
La présidente du FN, Marine Le Pen, s’est déclarée lundi “atterrée” par les “réactions d’hystérie de la classe politique” à l’occupation du chantier par un groupuscule d’extrême droite, dont elle ne “partage pas” le “mode d’action”. Elle a jugé “disproportionnées” les demandes de dissolution de Génération identitaire, dont 73 militants ont investi le chantier. “Il faut aussi demander la dissolution du Gisti, de SOS Racisme qui avaient poussé à l’occupation d’un certain nombre d’églises”, a-t-elle estimé, en allusion à la présence de sans-papiers à Saint-Bernard à Paris en 1996 et à la basilique-cathédrale de Saint-Denis en 2002.
73 militants, dont une majorité d’étudiants venus de Paris, Lyon, Grenoble, Lille, Cannes, Nice ainsi que de Bretagne et de Normandie, selon les organisateurs, avaient investi samedi, vers 5H45, le grand bâtiment gris, encore en chantier, situé en banlieue de Poitiers, à Buxerolles. Ils se sont installés sur le toit et ont déployé une banderole affichant le nom de leur mouvement et une autre évoquant “732” lorsque “Charles Martel a battu les Arabes à Poitiers”. Peu avant 13H00, ils ont évacué le site, sans encombre, selon eux parce que la préfecture leur avait promis qu’il n’y aurait pas d’interpellation.
Leur action a suscité des condamnations quasi unanimes au sein de la classe politique. Dimanche les appels à une grande fermeté judiciaire les visant, ou à leur dissolution pure et simple, se sont multipliés.
Dans un communiqué, le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP) a ainsi demandé “la dissolution immédiate de toutes les poupées gigognes de la mouvance identitaire d’extrême droite qui a occupé le chantier de la mosquée de Poitiers”, appelant aussi à la fermeture de ses sites internet et à des poursuites “pour incitation à la haine raciale”. Dès samedi, Jean-Luc Mélenchon, co-président du Parti de gauche (PG) avait aussi estimé que ces groupes devaient être dissous.
“Ils se sentent portés et légitimés par les vents mauvais qu’entraînent les déclarations xénophobes des responsables du Front national et de certains dirigeants de l’UMP”, a estimé le MRAP.
Le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) a pour sa part “fermement” condamné cette occupation, soulignant “le droit à la libre expression de la religion”.
“C’est avec la plus grande fermeté que de tels actes doivent être condamnés par la classe politique toute entière et faire l’objet de poursuites judiciaires. Ces actes ne peuvent rester impunis”, estime également SOS Racisme dans un communiqué.
Le Rassemblement des musulmans de France s’est lui inquiété “du climat d’islamophobie”, de plus en plus large en France et a appelé à des mesures “pour endiguer cette forme de xénophobie qui porte atteinte aux grandes valeurs de la République”.
“Pour nous c’est un succès”, s’est félicitée de son côté dimanche Louise Demory, porte-parole de ce mouvement de jeunesse, émanation récente du Bloc identitaire, un parti d’extrême droite spécialisé dans l’activisme sur internet, qui rejette l’immigration et l’islam avec virulence.
“Nous avons choisi de faire notre action à Poitiers, qui est une ville symbolique en raison de l’histoire et il se trouve en plus qu’une mosquée-cathédrale (nom donné aux mosquées d’envergure, ndlr) très ostentatoire y est en construction avec un minaret de 32 m”, a aussi affirmé à l’AFP Damien Rieu, un autre porte-parole de GI.
GI, a-t-il ajouté est “le syndicat des petits blancs, c’est-à-dire des jeunes français de souche touchés de plein fouet par l’immigration”, des personnes “issues de milieux modestes”.
Samedi, leur action avait été condamnée par presque tous les partis, et au sein du gouvernement notamment par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault et le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, ce dernier promettant “la plus grande fermeté” à leur encontre.
Deux des quatre hommes déférés lundi devant un juge d’instruction de Poitiers pour avoir occupé le chantier de la mosquée de la ville, samedi, ont été mis en examen et placés sous contrôle judiciaire lundi après-midi, a-t-on appris auprès du parquet, et deux autres devaient l’être dans la foulée.
Il est reproché à ces quatre hommes, âgés de 23 à 26 ans, et sans antécédent judiciaire, leur implication dans l’organisation et la conduite de cette action. Le contrôle judiciaire leur interdit toute activité associative ou sociale en lien avec la mouvance identitaire, de sortir des limites territoriales du département de leur domicile et d’avoir des contacts avec toutes les personnes ayant participé à la manifestation, selon un communiqué du parquet de Poitiers.
Condamnations quasi unanimes
Ces militants d’extrême droite, dont l’action a fait l’objet de condamnations quasi unanimes dans la classe politique, se revendiquent d’un groupuscule, Génération identitaire, mouvement de jeunesse du Bloc identitaire, qui dénonce «l’islamisation» de la France. Vers 5h45 du matin samedi, ils se sont installés sur le toit de la mosquée en construction et ont déployé une banderole affichant le nom de leur mouvement et évoquant selon eux la victoire de Charles Martel sur les Arabes à Poitiers en 732.
Le parquet de Poitiers, ville de quelque 90.000 habitants – dont 7 à 8.000 musulmans selon l’imam de la mosquée -, a dès samedi ouvert une enquête pénale pour «manifestation non autorisée, provocation à la haine raciale, participation à un groupement en vue de la préparation de dégradation de biens en réunion».
La qualification de «vol et dégradation en réunion» avait également été retenue notamment concernant une dizaine de tapis de prière déplacés sur le toit de la mosquée et endommagés par la pluie.
lettre ouverte à M. Le Premier ministre
23 octobre 2012
M. Le Premier ministre
Hôtel de Matignon
57, rue de Varenne
75700 Paris
France, mardi 23 octobre 2012
Monsieur le premier ministre,
Samedi 20 octobre, à six heures du matin, en compagnie d’une centaine de jeunes militants, nous sommes entrés sur le chantier de la Grande Mosquée de Poitiers. En fin de matinée, alors même que vous étiez en déplacement en Asie, vous avez publié un communiqué officiel. Si nous regrettons votre condamnation morale de notre action, nous nous félicitons, en revanche, de l’intérêt que vous portez à notre mouvement, et dont témoigne votre célérité à réagir.
Pour autant, nous voulons croire que votre point de vue découle d’une appréciation inadéquate des faits. En effet, si notre pays connaît régulièrement des occupations d’usines, de bureaux, d’églises, notamment du fait de la CGT ou d’associations de soutien à l’immigration clandestine, celles-ci ne sont pas toujours pacifiques et ne relèvent pas forcément du débat politique. Or, notre occupation du chantier de la Grande Mosquée de Poitiers a été non-violente et est à inscrire dans notre volonté d’un débat public. Notre présence se résume à la pose d’une banderole et à des slogans. L’évacuation s’est faite dans le calme.
Notre objectif était – et reste – d’attirer l’attention de l’opinion publique sur le problème de l’immigration et de l’islamisation en France. Nous savons que sur ces points, vous êtes d’un avis contraire. Ainsi, alors que vous étiez maire de Nantes, vous avez versé 200 000 euros de subvention publique à un centre “culturel” musulman, pourtant proche des mouvances islamistes radicales. Depuis votre nomination à la tête du gouvernement, vous inscrivez clairement votre action dans le développement et l’enracinement de l’immigration en France. Soit ! C’est votre droit et, peut-être, votre devoir au regard d’exigences d’états comme le Qatar ou l’Algérie.
Nous avons, quant à nous, un avis contraire. Nous sommes de ceux qui pensent – car nous avons encore le droit de penser – que si les Français devenaient minoritaires, alors la France ne serait plus la France. Fantasme ? Non. Il suffit pour s’en convaincre de considérer les récentes études chiffrées de l’INSEE sur les jeunes d’Ile-de-France ou le nombre de mosquées construites ces dernières années chez nous.
Vous voulez que cela continue ? Nous voulons que cela cesse !
Vous ne voulez pas demander l’avis des Français ? Nous désirons un referendum !
Tel était le but de notre action à Poitiers. A cette dernière, votre parti, le PS, mais aussi vos alliés du Front de gauche et d’Europe écologie les Verts, ont répondu unanimement par la haine. Pensez-vous vraiment, monsieur le premier ministre, que, dans une république, on puisse légitimement interdire d’expression des personnes qui réclament un referendum ? Si votre république n’est pas qu’un mot, n’est pas un rapt sémantique, alors, bien évidemment, la réponse est non.
Nous ne vous demandons pas de nous comprendre. Nous vous demandons, Monsieur le premier ministre, de reconnaître notre droit à l’expression.
Nous voulons un débat public et apaisé ? Les partis qui soutiennent votre gouvernement répondent par des invectives et des menaces. Nous voulons ouvrir les urnes ? Ils brandissent le bâton. N’est-ce pas eux, pourtant, qui, naguère, défendaient les Pussy Riot, entrées dans une église russe ?
Certes, vous nous répondrez que la justice a décidé de nous poursuivre. Mais, soyons sérieux, Monsieur le premier ministre. Pourriez-vous nous jurer que pas un seul de vos ministres n’ait appelé Monsieur le procureur de Poitiers ? Savez-vous d’ailleurs la raison de la mise en examen de quatre d’entre nous ? “Incitation à la haine raciale” pour avoir scandé, entre autres slogans : “Charles Martel !”. Est-ce cela votre république ? Est-ce là votre réponse aux centaines de milliers de jeunes français qui refusent l’immigration parce qu’ils en souffrent régulièrement ?
C’est de tout cela, Monsieur le premier ministre, que nous souhaitons vous entretenir. Nous vous demandons donc de nous fixer un rendez-vous ou, à défaut, une rencontre avec l’un de vos conseillers.
Dans cette attente,
Nous vous prions de croire, Monsieur le premier ministre, à l’expression de notre très haute considération.
La direction de Génération Identitaire
Open Brief aan Mijnheer de Eerste Minister
23 oktober 2012
Mijnheer de Eerste Minister
Hotel Matignon
57, rue de Varenne
75700 Paris
Frankrijk, dinsdag de 23 oktober 2012
Mijnheer de Eerste Minister,
Zaterdag 20 oktober, om zes uur in de ochtend, in het gezelschap van een honderdtal jonge activisten, gingen we de bouwplaats van de Grote Moskee van Poitiers bezetten. Tegen het einde van morgen, ook al was U op reis in Azië, heeft u een officiële verklaring afgegeven. Al spijt ons uw morele veroordeling van onze acties, zijn we blij met uw bealngstelling in onze beweging, aangetoond door uw snelle reactie.
Maar wij menen dat uw standpunt komt voort uit een onvoldoende beoordeling van de feiten. Sterker nog, nu ons land regelmatig bezettingen kent van fabrieken, kantoren, kerken, met name ook door de vakcentrale of verenigingen die illegale immigratie ondersteunen, die niet altijd rustig verlopen maar toch geen aanleding zijn voor een politiek debat. Echter, onze bezetting van de bouwplaats van de Grote Moskee van Poitiers was niet-gewelddadig en is onderdeel van onze toewijding aan het publieke debat. We hebben alleen maar een spandoek ontvouwen en slagzinnen uitgesproken.. De evacuatie is rustig verlopen.
Ons doel was – en blijft – de aandacht van het publiek vestigen op de kwestie van de immigratie en de islamisering in Frankrijk. We weten dat op deze punten u van de tegenovergestelde mening is. U was het inmiddels die als burgemeester van Nantes, 200.000 euro aan openbare subsidie aan een “cultureel” moslimcentrum gaf , dat nochtans nauw betrokken was bij radicale islamitische bewegingen. Eenmaal aangesteld als hoofd van de regering, staat uw werk duidelijk in het teken van de ontwikkeling en verankering van de immigratie in Frankrijk. Het is uw recht en, misschien, uw plicht te voldoen aan eisen van staten als Qatar en Algerije.
Wij, van onze kant, zijn het niet met u eens. Wij zijn degenen die geloven – omdat we nog steeds het recht hebben om te denken – dat , als de Fransen een minderheid in Frankrijk gaan vormen, frankrijk geen frankrijk meer is. een kaasverhaal? Nee. Kijk gewoon eens naar recent onderzoek cijfers van INSEE over jongeren op het Ile-de-France of over het aantal moskeeën gebouwd in de afgelopen jaren onder ons.
U wilt het zo houden? We willen dat dit stoppen!
U wilt niet de Fransen om hun mening vragen? We willen een referendum!
Dit was het doel van onze actie in Poitiers. Daarop reageerden uw partij, de PS, maar ook bondgenoten van de Linkse Front in Europa en de Groenen unaniem met uitingen van haat. Denkt U echt dat, Mijnheer de Eerste Minister, dat in een republiek, rechtens een oproep tot een referendum kan worden verboden? Als uw republiek niet een woordgrap is, dan is het antwoord natuurlijk : nee.
Wij vragen u niet om ons te begrijpen. Wij vragen u, mijnheer de premier, om ons recht op meningsuiting te respecteren.
We willen een publiek debatin alle rust. Partijen die uw regering te steunen reageren met beledigingen en bedreigingen. We willen naar de stembus. Zij zwaaien de stok. Waren zij niet dezelfde die Puzzy Riots’s bezetting van de orthodoxe kerk in Rusland bejubelden?
Zeker U antwordt dat justitie hefft besloten ons te vervolgen. Maar laten we serieus blijven, Mijnheer de Eerste Minister. Zou U zweren dat niet een van uw ministers de Procureur van Poitiers heeft gebeld? Weet U de reden voor de aanklacht van vier van ons? “Aanzetten tot rassenhaat” voor zang, onder andere slogans: “Charles Martel”. Is dit uw republiek? Is dit uw antwoord op honderdduizenden jonge Franse mensen die weigeren immigratie te accepteren, omdat ze er regelmatig last van hebben?
Dat is alles, Mijnheer de Eerste Minister, we willen met je praten. Wij vragen u daarom om ons een afspraak of, bij gebreke daarvan, een ontmoeting met een van uw adviseurs.
verblijvend
hg
Uitvoerende orgaan van de Generation Identitaire
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